Compléments :
4- Ahechadh (oléastre, olivier sauvage) et Azrou (rocher) n’Tala Guighil . On raconte que, durant les années 1930, des gouttelettes d’eau auraient perlé à travers le tronc de cet arbre géant. Croyant, sans doute, à « un phénomène surnaturel » certaines femmes, pendant quelques jours, s’humectaient le visage avec « cette eau magique » tout en respectant le rituel habituel : sacrifices (des coqs), des offrandes, etc…
5- Ahechadh (oléastre) N’Taiissats, du coté du quartier N’Ath Srour (à confirmer)
6- Imaridhen, une source avec deux petites cavités pour retenir l’eau …
On prêtait à cette source des pouvoirs surnaturels pour redonner espoir aux jeunes femmes stériles. Pour y accéder il fallait descendre à partir de Tamourth N’ Thala, jusqu’à la rivière et remonter de quelques dizaines de mètres, vers les villages des Ouacifs. Avec toujours le même rituel …
Au village, les enfants chantaient, il n’y a pas si longtemps, le refrain suivant : « A monsieur le caropot (l’instituteur), ef kasse tsri he (autorisation) i Chavane, a dhi rouh si maridhen… ».