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Hommage à Djamel Hazi
(1934-1991)

Pas du tout facile de parler d’un être cher, ravi à l’affection des siens pour un monde meilleur … Djamel nous a quittés trop tôt, à l’âge de 57 ans, laissant derrière lui un vide que rien ni personne ne peut combler. Allah yarahmou. Il est et sera toujours présent dans nos cœurs.
Qui, dans la famille ou parmi ses nombreux amis, de Souk-Ahras à Annaba, de Tébessa à Constantine …. , d’Alger, de Tizi, d’At Ali …., n’a eu besoin des services de Djamel, l’homme providentiel, capable de régler leurs problèmes ? Homme de principes, très sensible et gardien des valeurs héritées de ses aïeux, Djamel n’a jamais hésité à faire de longs déplacements, à partir d’Alger, pour dispenser aide et réconfort à tout membre de la famille qui en avait besoin (Ain Fakroun, Azzaba, Annaba, Ouenza …).
Comment oublier Djamel qui m’a toujours accueilli avec le sourire et, à l’occasion, me racontait tout, y compris les petits secrets de famille ? Ses yeux pétillaient d’intelligence et ses paroles, parfois ‘’assassines ‘’ et désarmantes, laissent pantois quiconque osait lui raconter des craques … Quand il le fallait, il savait tourner en dérision, avec finesse, les beaux parleurs. Djamel était trop subtil !
Très pieux, il a incarné un Islam de clémence et de miséricorde…, même son pèlerinage à la Mecque a été fêté dans la discrétion totale, sans tapages ni excès. Repose en paix Djamel, Allah Yarahmek, nous ne t’oublierons jamais.
Hamid At Kaki
Commentaire de Maître A. Khaldi de Annaba
Quoi dire de Djamel Hazi ?
En même temps que j’ai connu Mahieddine son frère, décédé depuis peu, courant juillet 2010, j’ai rencontré Djamel qui ‘’sévissait ’’ sur les hauts de la rue Didouche Mourad, à Alger. Le pressing où il ‘’officiait’’ constituait un pôle.
Les frères étaient précédés par la réputation de leur père, l’inusable Hadj Mohamed Hazi qui avait marqué l’histoire du militantisme à Souk-Ahras par son nationalisme exacerbé. ‘’ Bon sang ne saurait mentir ‘’ , Djamel, tout naturellement était dans la lignée du père.
Comment était –il ? S’il n’était pas l’Algérien idéal, tel que celui-ci eut pu être souhaité, il s’en rapprochait. Tous les ‘’terreaux’’ du pays étaient en lui : celui de ses racines, bien présent, comme également celui de la région d’adoption de la famille.
Qu’ai-je retenu de lui ? Son dévouement, sa spontanéité, sa générosité …, tout cela baignant dans un humour décapant lequel, pour s’exprimer, n’aurait pas besoin de planches de théâtre… Le mot d’esprit, tiré de la tradition orale, urbaine ou rurale, fusait à chaque instant et le public, restreint mais de qualité, appréciait. Ce qui reste dudit ‘’public’’ rend hommage à la mémoire des frères Hazi et à celle de leur père.
Commentaire de ahcene (25/07/2010 19:58) :
je n'ai pas eu la chance de connaitre de son vivant djamel hazi,mais
ce que tu as ecrit,de meme que l'hommage de maitre khaldi ne me
surprennent pas.il avait(comme son frere mahiedine)de qui tenir ces
qualités,du grand hadj mohamed(da moha ath ouhazi)que j'ai connu dans
mon enfance et dont j'ai parlé dans un temoignage dans une des
premieres pages de ce blog.je crois qu'un lion ne peut donner
naissance qu'a un lion et je repete l'adage de maitre khaldi:bon
sang ne peut mentir.allah yarhamhoum.
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Commentaire de Rachid O. Paris (26/07/2010 16:27) :
Je ne saurai laisser passer l'occasion de l'hommage aux braves
hommes de la famille Hazi , sans m'y associer. J 'evoquerai
seulement mon frère et ami Djamel allah yarrahmou, que j'ai bien connu
et avec qui j'ai partagé des moments de joie, de tristesse ,et des
longs moments passés dans son antre à Didouche Mouradd avec bon nombre de
nos amis communs. l'espoir ,l'amitie, et le sang nous liaient.
Djamel etait la sagesse, et quiconque avait besoin d'un conseil,
d'un appui, d'une aide, connaissait son adresse eT sa
disponibilité.Mon pere egalement ,allah yarrahmou,avait une grande estime
et une grande affection pour Djamel, il etait de tous nos secrets de
famille, et etait la caution morale pour tout ce qu'il entreprenait,et
vice versa...... JE M INCLINE ENCORE RESPECTUESEMENT A SA MEMOIRE ET CELLE
DE TOUS LES HAZI, RECEMMENT ENCORE NOTRE CHER MAHIEDDINE. ALLAH YARHAMHOUM
PS merci mon cher hamid de nous donner ainsi l'occasion de nous
exprimmer sur des sujets emouvants ,serieux et profonds cordialement
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Commentaire de Amrane Ait Kaki (29/07/2010 18:58) :
La famille HAZI de S/AHRAS, je l’ai connue pour la 1ère fois en 1960. A
cette époque j’avais 11 ans. Notre cousin Hacène Ait kaki, Allah yarahmou,
venait alors à Sedrata pour faire du négoce. Il était démarcheur ou
représentant en quelque sorte de leur magasin à Annaba. Et c’est ainsi
qu’il fut décidé que je parte avec lui pour passer mes 1ères vacances, chez
lui, à Annaba..1ère escale S/Ahras Nous sommes restés 3 jours chez la
famille Hazi et c’est ainsi que j’ai connu HADJ MOHAMED, DJAMEL, MAHIEDDINE
ALLAH YARHAMHOUME et aussi, si ma mémoire est bonne, Abdelkrim qui a mon
âge etc… Nous avons donc bénéficié de l’hospitalité de cette famille
pendant 3 jours. Quelques années après(1969) j’ai revu Djamel à ALGER dans
son magasin (dégraissage) .Je résidais chez mon oncle (Ait Belkacem) qui a
son appartement à deux pas du magasin de Djamel et c’est ainsi qu’un jour
en passant devant le pressing je trouve Madjid Ath Amer ouali assis devant
la porte du dégraissage et c’est ainsi que j’ai renoué avec Djamel.
C’étaient tous de grands hommes n’Ath ali.Allah yarhamham
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Hommage à Lyès Ouibrahim

(1943 - 2009)
Homme libre, anticonformiste parfois, très respectueux des libertés des autres mais intransigeant sur les principes…., Lyès nous a quittés trop tôt, à l’âge de 66 ans. On le disait malade mais correctement pris en charge sur le plan médical….. Jamais, au grand jamais, il n’a alarmé ses proches et ses nombreux amis lui qui, sûrement, se savait condamné. Stoïquement il a continué à donner l’impression que tout allait bien pour lui et personne n’a vraiment prêté attention à son dernier grand voyage, à travers l’Europe, pour un adieu ‘’déguisé’’ à ses frères, à sa sœur et à sa fille. Et, lorsque la nouvelle de sa mort est ‘’tombée’’, nous fûmes tous surpris, assommés ….. Q.R.E.P.

Fils de Aomer At M’Hamed (n’at Ougni) et de Taous At Younes (la fille de Dda Chavane) Lyès est né en 1943 à M’daourouch (Montesquieu). Enfance heureuse dans un milieu familial favorable, entouré d’une mère comblée et d’une grand-mère, Torkia At Kaki (Nna Koukou ou Mma nini pour ses petits enfants) aux petits soins avec lui, il fut, dès son jeune âge, très éveillé, assimilant tout et vite. Nna Koukou : « Lyès, khiar eness, rabi felass dhassass» .
A l’école, chez Monsieur Ait Zaî , il évolua très vite, brûlant les étapes pour décrocher son concours d’entrée en 6 ème à l’âge de 10ans . Après le collège moderne et l’Ecole Normale des instituteurs de Constantine il fut affecté, en 1960, comme enseignant, avec une dérogation d’âge, à l’école de Montesquieu.
Orphelin de père depuis 1958, Lyès, dès son installation comme instituteur, se retrouve, chargé de famille avec ses ‘’deux’’ mères et ses six frères et sœurs. Après Montesquieu et Besbés (Randon) il reprend ses études à l’Ecole Normale Supérieure d’Alger pour préparer une licence d’histoire géographie….. Par la suite il a occupé tour à tour plusieurs postes importants dans l’administration : Sous-Directeur, puis Directeur aux plans, Directeur au Ministère de l’Education Nationale, Secrétaire Général au Ministère de la Jeunesse et des Sports …..

Maison familliale au village d'At Ali (fermée depuis des décennies)
Que dire de plus ? Sinon que personnellement, j’ai perdu en lui mon meilleur ami, un cousin, un complice, un confident …… Q.R.E.P. Je renouvelle mes condoléances à son épouse , à ses enfants et à tous ses proches. Hamid
Commentaire de Kamel (10/10/2010 19:44) :
De notre village, d'après mes connaissances les personnes qui ont
occupé des postes politiques ou administratifs importants sont : Messaoud
At Challal Ministre, Hamid Ait Younes (Mnameni) Directeur de Ministère,
Lyes Ouibrahim Directeur et secrétaire général de Ministère. Il y en a
d'autres peut-être que je ne connais pas.
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Commentaire de Ahcène (10/10/2010 22:40) :
je n'ai pas eu la chance de connaitre ce grand homme,alors que son âge
n'est pas loin du mien.Il a fait le college moderne (lycée yougoutha
actuellement)comme moi.de meme qu'il a ete à l'ecole normale des
instituteurs de Constantine où ont etudié da said ath moussa et da loulou
ath kaci ses ainés que j'ai connus et que nous avons evoqués sur ce
blog.Il a enseigné à Montesqieu (M'daourouch).D'apres la brève
biographie que tu as donnée ,il a occupé de grands postes de
responsabilité.Notre village a donné naissance à de grands hommes comme
lyes et d'autres qu'on apprend à connaitre .Merci de nous faire
decouvrir les grands personnages de notre village .J'espere en
decouvrir d'autres ..que les ait ali ecrivent et rendent hommage aux
enfants de chez nous quelque soit le domaine où ils ont evolué. Cela
rehaussera la valeur de notre cher village. Qu'il repose en paix.
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Commentaire de ahcene (12/10/2010 18:43) :
en relisant à maintes reprises cet hommage à lyes ,je decouvre plusieurs
elemnts qui m'interpellent.je ne connais pas beaucoup de personnes qui
arretent leurs etudes ,exercent des professions(en particulier enseignant)
puis reprennent leurs etudes et y reussissent.je vais cité un exemple (en
plus de celui de lyes)je veux parlé de notre ami commun mahmoud ait kaci.il
a ete enseigant pendant plusieurs années à ain abid(bordj mehirsse)wilaya
de constantine.il a eu la volonté et le courage de reprendre ses etudes et
a ete medecin (à maatkas)jusqu'à sa retraite.des volontés et du
courage de ce niveaux ,on ne rencontre pas souvent.
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Commentaire de Hamid (14/10/2010 17:28) :
Beaucoup d'instituteurs normaliens ont repris leurs études à
l'E.N.S. d'Alger (Ecole Normale Supérieure) après 1962, parce
qu'ils ont bénéficié d'un détachement. Ils ont gardé tous leurs
avantages (traitement...) durant toute la durée de leurs études. Mahmoud At
Kaci n'a jamais été normalien et il a quitté l'enseignement (et
c'est tant mieux pour lui) suite à une altercation avec un responsable
pédagogique...
hamidaitkaki@yahoo.fr |
Commentaire de ahcene (15/10/2010 19:15) :
les detachement des enseignants( pour pouvoir evoluer)à l'ENS a
continuer jusqu'aux années 80(en 85 mon epouse formée è l'ITE de
contantine a ete autorisé a aller à l'ENS)pour devenir PES de langue
française.je connais quelques uns de ses collegues qui ont continué et sont
devenus professeurs à l'université.je ne sais pas si ce detachement
existe encore.je savais que notre ami mahmoud n'a pas ete
normalien.mais reprendre ces etudes apres un arret de plusieurs années est
à mon avis meritoire.
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Hommage à Dda Mamou Kardache
Par Ahcène Kardache

Orphelin très jeune, Dda Mamou Kardache et sa fratrie ont été pris en charge par leur oncle maternel Mebarek Ath Lounis ( Ait Slimane) à Oued Zénati dans l’Est Algérien. Après des études à l’école Jules Ferry à Constantine, il opta pour un travail à la SNCFA
Son sérieux et ses compétences lui valurent une ascension rapide dans la hiérarchie de la société des chemins de fer qui ne tarda pas à lui confier des postes importants à la tête de plusieurs gares dont celles de Tizi Ouzou et de Réghaia. A l’indépendance de l’Algérie, il a été le premier responsable de la direction générale des chemins de fer à Tizi Ouzou où la porte de sa maison était toujours grande ouverte à tous nos villageois. Ce fut, d’ailleurs, grâce à lui que certains d’entre eux firent carrière dans les chemins de fer durant les années 1970-1980.
Dda Mamou s’est occupé de la scolarité de mon frère Mohand Said et lors de la grave maladie de ce dernier, qui l’a emporté, il était là constamment auprès de lui pour l’assister , jusqu’à son dernier souffle, en octobre 1955. Après le décès de mon père, en octobre 1956, Dda Mamou n’a pas hésité à ‘’quitter’’ sa famille et son poste de travail à Réghaia pour s’occuper des longues formalités de succession ….à Tebessa.
Aimable, serviable, souriant avec tout le monde, sa compagnie était toujours agréable et recherchée. Il n’a fait que du bien autour de lui, aux membres de sa nombreuse famille, à ceux de son village et à tous ceux qui l’ont approché ou sollicité. Repose en paix Dda Mamou à coté de nos êtres chers qui nous ont quittés, toi, qui n’a laissé que de bons souvenirs.
Commentaire de Hamid (06/04/2011 14:39) :
Pathétique hommage rendu à un grand Homme. Qui , parmi les personnes de ma
génération , n' a pas connu ,ou du moins entendu parler, autour de
lui ,de Dda Mamou Kardache ? Personnellement j'ai gardé de lui le
souvenir d'un homme élégant et toujours souriant .Plus tard à Alger ,
chez Dda Ahmed Hazi ,dont la maison , tout comme celle de Dda Mamou
Kardache , servait souvent de refuge durant les années de notre Révolution
armée ..., tout le monde ne tarissait pas d'éloges sur ce chef de
gare (années 1950) d'une grande culture et toujours prêt à aider ses
compatriotes ...Qu'ils reposent tous en paix !
hamidaitkaki@yahoo.fr |
Commentaire de michaelangelo1953@yahoo.fr (07/04/2011 16:45) :
Bonsoir à toutes et à tous! Bravo Ahcene pour cet hommage émouvant rendu à
cet illustre Monsieur de notre village. Je ne l'ai pas connu,
malheureusement, mais ton écrit nous a rendu familier Da Mamou KARDACHE
(QREP). Grand nombre de ce genre d'hommes se consument pour éclairer
les autres de leur lumière. Parler d'eux, c'est les faire
revivre. Ne dit-on pas que les Grands Hommes ne meurent jamais. J'ai
connu un autre KARDACHE décédé il y a peu Da Mohdarab (QREP). Toujours
jovial, le sourire aux lèvres. Il m'apostrophait souvent avec cette
phrase: Et tu diras à sa mère que Chabane est un lion. C'est relatif à
un émigré qui,faute d'envoyer de l'argent à sa mère,se contentait
de lui envoyer ce message. Le roi des animaux comme on sait symbolise:
courage, sens du devoir, héroïsme, protection, etc...
michaelangelo1953@yahoo.fr |
Commentaire de Ahcène (07/04/2011 22:12) :
Complément d'informations : après l'indépendance et après avoir
assumé des responsabilités importantes , Da Mamou a été nommé Inspecteur
Général à la D.G. de la SNCFA dont le siège se trouve (ou se trouvait ) à
la rue Hassiba Benbouali . A cette époque et avant d'occuper un
logement au boulevard Mohamed V , il habitait à la cité des Eucalyptus (
Kalitous) où il contribua grandement à faire obtenir des appartements à de
nombreuses familles de chez nous . En été , tout au long des années
1970-1980 , sa seule présence au village , non seulement attirait beaucoup
de monde mais aussi et surtout contribuait à créer une ambiance
extraordinaire dans notre quartier .
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Commentaire de Hamid (07/04/2011 22:28) :
Les amis de da Mamou étaient nombreux : Ahmed Ath Ouhazi , Aomer Ath El
hocine, Arezki et Said Ath Belkacem , Belhadj Ath Chérif , Chavane Ath
Lekehal , etc...,eux qui ,à un certain moment , voulaient créer une
amicale afin de redonner à notre village la place qui est la sienne qui ,il
n'y a pas si longtemps , était et à bien des égards, une Référence
... Bonsoir .
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Commentaire de ahcene (08/04/2011 20:08) :
bonsoir hamid ,merci d'avoir publier cet article.j'ai connu tous
les amis de da mamou que tu as cités.je crois les avoir evoqués dans
certains de mes commentaires sur ton blog.khouali arezki et said ait
belkacem sont les beaux-frere de da mamou dont l'epouse est ouiza ath
velkacem.pour michel-ange: mohand-arab ath kardache est l'époux de la
parente du moudjahed da mahmoud à thoukham bouada(ait abdelkader)que nous
avons evoqué precedemment.que ceux qui nous ont quittés reposent en paix.
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Commentaire de Ammar [ 17/04/2011 20:20 ] (17/06/2011 19:02) :
" Mea culpa pour le retard mis pour la publication de ce commentaire de
Ammar que je viens juste de décourir dans ma boite privée " Hamid.
Merci Ahcène pour cet hommage rendu à un grand homme da mamou ath kardache
.agent CFA ,chef de gare ,inspécteur des chemins de fer,il a términé sa
carrière en qualité de directeur de la formation à la SNCFA .J'étais
proche de lui ,j'ai eu l'honneur et l'occasion de
l'accopagner pour sillonner la kabylie durant plusieurs années.avec sa
R4 nous étions les premiers a prendre la piste (la route n'étais pas
encore réparer )entre tizi koulal et bouira depuis ,chaque jour nous
revenons l'après midi voir les avancement des travaux de réparation de
cette route .une fois il a décider de faire une randonnée pour visiter
l'ensemble des saints de la kabylie.nous avons pris la route très tot
le matin direction michelet le 1 ier saint visité c'etait "jeddi
manguelet " ,puis thaka ath yahia ensuite cheikh Amorane ath zelel ...etc
da mamou est l'ami des jeunes .avec lui j'ai bcp appris .homme
instuit ,très sage ,éstimé et écouté par tout le monde .il aime discuter
avec les vieilles qui laimaient bien .en ma présence ,il a réglé des
conflits sans heurt et ça s'est toujours terminer avec satisfaction de
tout le monde.j'ai bcp de choses à dire sur da mamou et ses amis .peut
etre une autre fois . je terminerai en disant ""qu'aun homme ne peut
échapper à ce que le créateur lui a prédistiné .allah yerham da mamou ainsi
que ses amis .
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