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Les Iles Canaries (Islas canarias)
Muhand Cherif Ouchérif
Les îles Canaries forment un archipel de l’océan Atlantique au nord-ouest du Sahara Occidental . En plus de quelques îlots déserts , il se compose de sept îles principales dont les plus importantes sont : Tenerife ( 81 /45 km) , capitale Santa Cruz et la grande Canarie , capitale Las Palmas ( Tous les quatre ans , tour à tour ) . Les iles Canaries sont une des 17 communautés autonomes d’Espagne et les Amazighes , les Guanches , sont ses premiers habitants.
TENERIFE (capitale Santa Cruz), Ile Heureuse selon Plinius , historien Romain , est la plus grande des îles Canaries avec ses deux aéroports internationaux et une population qui dépasse le million. Elle accueille, chaque année, plus de sept millions de touristes .

Los Christianos, au sud de Tenerife : une plage d’une propreté extraordinaire.
Plinius (un siècle après Jésus Christ) a documenté l’expédition du roi Berbère Juba 2 .aux îles Canaries… Cinq à six siècles après J.C , les Berbères d’ ’Afrique du Nord commencèrent à peupler les Iles canaries….
Les Guanches (les Berbères), après plusieurs épreuves de force avec le Portugal , l’ Espagne, l’Angleterre etc .. finiront par perdre la guerre (Alonso Fernandez de Lugo) et depuis , les Iles Canaries font partie intégrante de l‘Espagne.. A la mort du dictateur Franco, le roi Carlos ouvre le champ démocratique qui consacra en 1982 l’autonomie des Iles Canaries.

Le Teide , volcan (en Guanche = Enfer) , avec ses 3715 m est le point le plus élevé d’Espagne.

Les montagnes du Tenerife sont classées patrimoine culturel ( UNESCO).

Adeje, un bord de mer au sud de Tenerife
Cette côte est habitée par les Guanches , difficiles à reconnaitre en tant que tels par leur apparence (grands et blonds) Grâce à une activité économique dynamique tournée surtout vers le tourisme : supermarchés, hôtels , restaurants, cafés, loisirs , etc..), l’île a réussi son développement « durable ». Ce qui est remarquable, c’est la propreté des lieux malgré les millions de touristes qui y séjournent chaque année .

Castella au sud de Tenerife . : la côte du duc.

Santa Cruz (Capitale des Iles , tour à tour, avec Las Palmas )
Au musée de Santa Cruz on trouve également de la poterie Berbère , pour rappeler et souligner l’origine commune des premiers habitants des îles Canaries .
Selon les historiens les Guanches étaient doués, avancés dans le domaine scientifique et pratiquaient déjà , à leur époque , la physiothérapie ....

Photo prise au musée de Santa Cruz.
A la vue de ces moulins, je me suis retrouvé dans mon village.
Des chercheurs de divers pays ont découvert ces dernières années une pyramide à Tenerife, dont le principe de construction ressemble à celui utilisé en EGYPTE. Cette découverte relance le débat sur l’origine des pyramides Egyptiennes . (En Egypte il existe encore une minorité Berbère à SIWA )

Los Gigantes et ses falaises
L’Algérie, en reconnaissant son amazighité, ne peut qu’en être fière.
Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (08/03/2012 17:44) :
Merci Mohand Cherif pour ce reportage agrémenté par de belles photos sur
les Iles Cararies .C'est une incitation au voyage ! Personnellement
j'aurais aimé trouver plus d' informations sur les Guanches : que
reste-t-il ,chez eux , de la culture de leurs ancêtres ? coutumes ,
traditions , langues ... Berbère télévision a consacré, il y a quelques
temps ,une émission intéressante aux Iles Cararies ,avec comme invité un
Guanche qui s'exprimait aisément en berbère ...
http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/
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Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (11/03/2012 19:26) :
Commentaire de Muhand Ouchérif.
Dimanche 11 mars 2012 8h45 Bonjour,
Chaque maison en kabylie avait son charme , sa propre histoire , une
identité...
les nouvelles constructions ont , malheureusement , défiguré le paysage
kabyle parce que nous
n'avons pas su ou voulu sauvegarder notre patrimoine culturel.
Ce désastre, je l’ai vécu aussi à Adeje. Le village a été complètement
transformé.
J’ai découvert des villas somptueuses et des maisons trés belles, modernes,
ni plus ni moins.
Par contre, si vous voulez visiter un village berbère (comme en kabylie),
il faut aller de préférence à la Grande Canarie (Las Palmas). Et là, vous
rencontrerez des gouanches qui parlent le berbère.
Le bonjour à tous.
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Commentaire de Oranaise (12/03/2012 12:28) :
Salut tout le monde et merci à Mohand Chérif pour ces belles photos des
Iles Canaries . Peut-être qu'un jour quelqu'un pourra nous envoyer des
photos de ces villages Berbères , localisés à Las Palmas ( Selon Mohand)
avec peut-être aussi des commentaires . Bravo donc Mohand !
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Commentaire de Idir52 (12/03/2012 23:20) :
Bonsoir Muhand OUCHERIF,
Je suis d’accord avec vous, qu'une ancienne maison kabyle restaurée est un
petit bijou ! la question que je me pose aujourd’hui! restaurer tout le
village, est-ce possible?
IL est vrai que les maisons en Kabylie avaient leurs charmes et leur
identité, mais il ne faut pas oublier que la cohabitation n'a plus cours
comme avant, et que les nouvelles constructions sont devenues nécessaires
par la force des choses pour les générations futures. On ne peut plus
habiter dans des maisons délabrées, comme dans le temps passé à 4 ou 6 dans
une seule pièce. Les maisons de nos aïeux sont en majorité dans
l'indivision, et quand on veut avoir son petit toit, on est obligé de
faire appel à un spécialiste pour un réaménagement des surfaces en
question, et même recourir à des sur-élévations dans certains cas.
Le paysage du village Kabyle, il est vrai parait comme vous le dites
défiguré; non pas, par les nouvelles constructions, mais beaucoup plus par
manque de plan d'urbanisme.
Une maison ancienne, vous la trouverez, surtout en parlant aux Grecs (les
agences font de bénéfices trop confortables, main dans la main des
promoteurs, avec les petites maisons modernes, pour vous proposer une
vieille maison moins chère)... et peut-être sans y engager des travaux
pharaoniques. Évitez tout de même d'acheter une maison en ruines, sauf coup
de foudre irrésistible.
Les artisans grecs sont très doués, à condition de surveiller de près pour
avoir ce que vous voulez.
Au plaisir de vous lire, bonne nuit à tous et au plaisir de vous lire.
Idir Ouabdesselam
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Commentaire de ouahiounedjamila (18/03/2012 19:48) :
bonsoir à tous,désolée pour cette absence;les aléas de la vie.mais
rassurez-vous,je lis regulièrement les commentaires et ce sujet j'ai un
besoin irresistible d'intervenir sur la beauté de nore village:chacun a sa
vision de cette beauté par affection à des lieux de son enfance, des
proches, en souvenir d'une étape de sa vie, d'image, d'un lieu, d'un
parfum...
On ne peut comparer les us et coutumes, ce qui est indignable c'est la
restructuration de l'immobilier en fonction de la grandeur et l'évolution
de la famille.
personnellement j'ai toujours vu nos maisons construites en fonction des
moyens conceptuels et financiers.le village n'est constitué que de maisons
de plein-pied avec des tuiles, certaines ont toujours eu de belles
terrasses et de jardins.
A titre d'exemple je vois mal la vie quotidienne dans notre maison avec
tous les descendants de mes parents;il ya eu une vie avec un couple et six
enfants où tous vivions dans une seule pièce(même s'il y avaient 2 autes)
En prenant que les garçons(car les filles doivent rester dans la famille de
leur mari...quoi que..;)3garçons qui ont chacun 5, 3, 2 enfants qui ont à
leur tour des enfants.Vous imaginez la cohabitation de tout ce "peuple"
dans une promiscuité et dans l'inconfort?...
Non, on est pas au moyen âge, les maisons de Ait Ali ouharzoune ont
évoluées avec les habitants.
Celles qui sont encore debout et réhabilitées démontrent de l'interêt des
occupants pour leur maison,leur village,leur region.Les maisons délabrées,
en ruine, hélas sont la preuve d'un désintérêt de leur propriétaire(sans
aucun préjugé de ma part)
Un touriste peut avoir la réfexion de dire que c'est dommage ou avoir
l'esprit critique car c'est facile de dire(de loin)y a qu'à...ou..il faut
qu'on...
l'essentiel est la présence des faits et des actes chacun fait en fonction
de ses moyens affectifs, sociaux et surtout financiers.
pour les natifs de Ait Ali ouharzoune(comme moi)notre village est beau tel
qu'il est et j'espère de tout coeur qu'il retrouvera sa joie de vivre!il
n'a pas besoin d'être peint à la chaux ou se retrouver sur une carte
postale comme un site touristique(soumis à des tours operateurs ou lobbies
financiers).
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Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (22/03/2012 15:59) :
De : Muhand Oucherif mail : Oucherif@gmx.de : Envoyé le : Mercredi 21 mars
2012 22h13.
En réponse à mes amis(es) d’enfance, qui ont une approche différente de la
mienne et c’est tant mieux: La diversité d’opinions est une richesse.
A chaque fois que j’apprends que quelqu’un du village a construit une
maison, je me réjouis, et c’est tout a fait normal. Si ce ne sont pas des
amis , alors ce sont des proches, des voisins ou de la famille. Nous sommes
tous liés directement ou indirectement.
Il est vrai que tout le monde veut vivre dans le confort, la dignité, dans
des maisons modernes etc.. mais n’est-il pas possible de trouver un
compromis entre la modernité et la sauvegarde du patrimoine, comme cela se
fait dans certains pays.
Je vous cite l’Allemagne ou j’y vis depuis de longues années, le pays le
plus industrialisé, le plus developpé ou la voiture stationne
automatiquement et roule sans conducteur, enfin le plus puissant d’Europe.
Eh bien elle tient encore à son identité, et à sa culture. Même les maisons
du moyen âge sont majestueusement restaurées et habitées sans complexe,
bien au contraire.
Le dicton « pour savoir ou aller, il faut savoir d’abord d’ou l’on vient »
leur va à merveille.
Sans vouloir rentrer dans un schéma de raisonnement , ce problème sera
d’actualité, sans aucun doute, dans 2 ou 3 générations. Les maisons
actuelles seront de nouveau trop petites vu la croissance démographique. Le
probléme n’est donc résolu qu à court terme, il est fort possible que je
m’y trompe.
Je pense que cela necessite de la réflexion.
(Djamila, j’ai perdu ton email , c’est pour cette raison que je t’ai pas
répondu, merci de me recontacter).
http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/
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Rachid Aliche
Auteur de deux livres édités en Tamazight






Commentaire de kamel1 (05/06/2012 12:29) :
D'abord je signale des problemes de connexion depuis quelques jours .
Bonne idée de présenter des auteurs qui écrivent en Tamazight . La trame du
roman , Fafa , me parait interessante mais j'avoue que, pour moi ,il me
sera difficile de le lire dans sa version originale . Bon courage à tous .
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Commentaire de Idir52 (23/08/2012 19:44) :
L'Univers - appartient à ceux qui savent s’en réjouir.
"Le ciel et la terre nous appartiennent. Oui, ils nous appartiennent, nous
les possédons, mais intérieurement. Pourquoi devraient-ils nous appartenir
extérieurement, matériellement ? Que ferions-nous de toutes ces mers, ces
forêts, ces montagnes, ces étoiles ?
Imaginez un homme très riche qui possède un parc rempli de tout ce qui
existe de plus beau : fleurs, arbres, oiseaux, fontaines, jets d’eau… Mais
ses affaires l’obligent à courir le monde, et il passe son temps dans les
avions ou en réunion dans des bureaux. Son parc, il n’a jamais le temps de
s’y promener, et s’il lui arrive de le traverser, il est tellement absorbé
par ses affaires qu’il ne voit rien. Mais voilà qu’un poète vient chaque
jour dans ce parc : il est très pauvre, mais il trouve tout son bonheur
dans le chant des oiseaux et des fontaines, la couleur et le parfum des
fleurs, et il écrit des poèmes merveilleux. Alors, à qui appartient ce parc
? Au poète. Et l’autre, le propriétaire ?…. Il paie les impôts !"
Je vous souhaite une agréable soirée mes amis.
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Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (24/08/2012 19:00) :
Bonjour Idir , Saha 3idek . J’apprécie
tes commentaires que je lis et relis, pour la plupart d’entre eux
, avec plaisir . Ta dernière contribution sur « Le nouveau riche et le
poète » me rappelle une fable de Jean De Lafontaine « Le savetier
et le financier » ou certains proverbes comme « L’argent ne fait pas
le bonheur » …Voila un thème , fort intéressant du reste , qui a
toujours suscité beaucoup de débats contradictoires Sans me
hasarder à ‘ enfoncer des portes ouvertes ‘ je dirais simplement que
tout , finalement , est affaire de CULTURE et , effectivement ,
l’aissance matérielle mal « gérée » ou acquise trop rapidement ne
peut procurer qu’un bonheur de façade . Et puis quel bonheur ? Chacun
en a sa propre conception .
http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/
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Commentaire de Idir52 (25/08/2012 12:59) :
Svah el-kheïr à Hamid, Saha l'3idik i kecc a-k e-t-wacult ik.
Je t'ai fait rappelé le texte de Jean de lafontaine ( Le savetier et le
financier).
Le texte est une fable présentée comme une comédie : La Fontaine peint les
ridicules, met en évidence les comportements ridicules : acheter le sommeil
!
C’est une comédie en quatre actes : En résumé (présentation des deux
protagonistes),le financier propose au savetier de lui donner cent écus),
la réaction du savetier (il va cacher son argent mais ne dort plus) ;
enfin, le dénouement : le savetier rend les cent écus pour retrouver le
bonheur (celui de chanter).
Au plaisir de te lire mon cher Hamid.
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Commémoration de la mort de Abdellah Mohia
Photos Idir Ouabdesslam

Lounis Ait Menguellet



Idir Ouabdesslam et Hamid Sadmi , ancien joueur de la jsk



Foule en direction du cimetière pour un recueillement sur la tombe de Abdallah Mohia

Dépôt d'une gerbe de fleurs par Lounis Ait Menguellet et Mouloud Mohia


Dépôt d'une gerbe de fleurs par le chanteur Mouloud Zeddek et Hocine Haroune ( artiste peintre)


Le chanteur Abranis ( Bélaid )
( Le quotidien El watan du 22 /12 / 2012)

Mohia
Commentaire de kamel1 (11/12/2012 22:09) :
Bonsoir Idir . Tes photos sont très belles . Si tu permets il faudrait nous
préciser le lieu et la date du déroulement de cette cérémonie et peut-être
aussi un petit article pour mieux faire connaitre Mohia aux amis de
notre blog . Bon courage .
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Commentaire de Idir52 (12/12/2012 00:14) :
Bonsoir Kamel1,
La cérémonie a eu lieu le Vendredi le 07 décembre 2012 à Ait Eurbah village
natal du poète Commune Iboudrarène.
Un petit résumé sur Abdellah Mohya pour les gens qui ne l'ont pas connu.
Mohya, de son vrai nom MOHIA Abdellah, est écrivain, poète et traducteur de
langue amazigh (kabyle). Mohia Abdellah (ou Muhya, Muhend u Yehya) est né
le 1er novembre 1950 à Azazga). Sa famille est originaire d’At-Rbah
(commune d’Ibudraren),son père, tailleur de profession, s’est installé
depuis quelques années à Azazga.
Mohya a passé une partie de son enfance dans cette région avant que sa
famille ne déménage à Tizi-Ouzou. Interne au Lycée Amirouche à Tizi-Ouzou,
Mohya était un brillant élève, il décroche son bac en 1968. Il rejoint
l’Université d’Alger où il poursuit des études supérieures en
mathématiques, il obtient sa licence en 1972.
Oeuvres de Mohya:
Mohya composera de nombreux poèmes. Les plus connus restent ceux qui sont
repris par les chanteurs kabyles. Dans une société où l’oralité reste l’un
des rares vecteurs de transmission de savoirs, il faut reconnaître que les
vers de Mohya ont connu une large diffusion surtout avec une chanson mise
au service la revendication amazighiste contre le déni identitaire.
Poèmes chantés:
A y arrach e-nnegh: chanté par Idir.
Poèmes chantés par Ferhat
Tahya Berzidane(Vive le président), Di Berrouaguia ( Prison de Berrouguia)
Amamrezg-e-negh (Oh notre bonheur),Oued u chayeh (Faisant allusion aux gens
qui habitent les bidons villes possédant des Mercedes).
Takfarinas, A win iheddren fell-i ; par Malika Domrane, Ad’ellaâ iqqersen ;
Slimane Chabi Ad ghregh di lakul…
Il a animé la troupe Asalu à partir de 1983. C'est autour de cette dernière
qu’un atelier de traduction-adaptation s’est constitué. Il a par ailleurs
enseigné l’amazigh à l’ACB.
Mohya a publié 5 cassettes audio distribuées gratuitement dans les années
70, il n'a jamais voulu prendre le moindre centime de ces oeuvres.
*
Tamacahut n Iqannan (histoire des nains), Tamacahut n ileghman (histoire
des chameaux), Tamacahut n yeghyal (histoire des ânes), Asmi nxeddem le
théâtre (Quand on faisait du théâtre), Wwet ! (Frappe donc !)…Certaines
oeuvres restent inédites.
*
Adaptation :
En 1982, Mohya s’intéresse à Pirandello. La pièce intitulée la Giara qui a
donné la Jarre en français est devenue Tacbaylit sous sa plume.
En 1984, ce sont deux pièces , Tartuffe de Molière et Ubu Roi d’Alfred
Jarry, qui sont adaptées en kabyle respectivement sous les titres de Si
Partuf et Caebibi.
Puis ce sont deux autres pièces : Médecin malgré lui de Molière et En
attendant Godot de Samuel Beckett qui sont adaptées respectivement sous les
titres de Si Leh’lu et de Am win yettrajun R’ebbi.
Affud ameqran
Bonsoir à tous mes amis
A Plus.
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Commentaire de kamel1 (12/12/2012 16:10) :
Merci Idir pour ce cours magistral qui apporte un éclairage de plus sur les
Grands de notre région . Formidable ! . Est-ce qu'il y a une trace écrite
de toute ces oeuvres ? En tamazight ou en français ?
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Commentaire de Idir52 (12/12/2012 23:06) :
Bonsoir Kamel1.
Concernant l'oeuvre de Mohia, une trace écrite existe, mais pas en ma
possession.
Je ferai le maximum de récupérer son oeuvre auprès de son frère Mouloud qui
est un bon ami. Mais si tu veux écouter des bribes de son oeuvre, envoie
moi le n° de ta boite e-mail pour que je puisse t'envoyer des fichiers en
MP3.
Bonsoir et à plus.
ouabdesselamidir@yahoo.fr
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Commentaire de michael1953 (13/12/2012 20:30) :
Bonsoir à toutes et à tous! Merci Idir pour ce reportage et bravo pour
toutes ces informations sur Mohya, l'un des piliers de la langue Amazigh,
lui qui répétait souvent: tachvalits nni theraz. (la jarre est brisée). Une
de ses anecdotes: ana-tas zik' ak en adnwak'i zik aneqim (il faut dormir et
se lever tôt pour ne rien faire). Repose en paix Mohya, tu es absent mais
tu es toujours présent.(allan oulachiten, oulachiten allan). A bientôt!
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Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (15/12/2012 13:39) :
Commentaire de Oucherif :"
Bonjour,
Qui ne connait pas Mohia, une personne engagée pour son identité
millenaire.
Attaché à sa culture qu’il revendiquait ouvertement, il a consacré sa vie à
l’adaptation
des oeuvres universelles de haut niveau, fondatrices de la nouvelle
littérature kabyle.
Mohia n’est mort que physiquement, son nom restera gravé dans toutes les
mémoires.
Un grand merci à Iddir pour cet article.
Oucherif.
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