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Les pressoirs (suite)
16/02/2009 20:57
Le pressoir N’Ath Oucherif (Ahcene et Aomar)
(Merci Salah pour ta photo)
Commentaire de saidouiza (21/10/2014 00:35) :
Il a l'air d'être tout neuf ce pressoir, vu de l'extérieur. Ce n'est pas le
cas chez nous à Ighil Bouamas où les bâtisses sont en décrépitude,elles ont
même perdu leurs tuiles,alors que les machines (manuelles bien sûr) sont là
avec leurs meules bien imposantes. Je me suis toujours demandé comment
a-t-on pu transporté d'aussi lourdes charges à l'époque (1900) où il n'y
avait pas de routes carrossables. Aujourd'hui il y a une presse moderne
avec trois postes de transformation, mais il n'y a point d'olives. Même les
étourneaux qui émigraient chez nous se font de plus en plus rares.
Saïd
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Vue sur le Djurdjura
09/03/2009 13:59
Admirons cette belle photographie d’une petite oliveraie, bien de chez nous située en bas du village n’Ath Ali Ouharzoune (Thaghlit n’Ath Si Maamar ou Taghlit E Bouner ) avec en toile de fond quelques villages des Ouacifs haut perchés sur toutes les crêtes et …. notre majestueux Djurdjura enneigé. … (Sans commentaire)
Commentaire de madisson39 (12/06/2009 08:22) :
Vous avez raison,cette oliveraie est reellement majestueuse,je la connais
pour y avoir jouer ,gouter à ses fruits,ramasser son bois,ceullis ses
olives et bcp réver en s'asseyant tt splmt et en admirant le beau
tableau qui s"offrait à mes yeus d'enfant des semptueuses montagnes du
djurdjura. J éspére que les enfants des sidi mammar sauveront celles ci de
l'abondon et lui redonneront sa beauté d'antant
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Le fusil, la chasse et les chasseurs
1- Le fusil

Fusil ancien modèle
Autrefois, dès que les parents jugeaient que leur fils était devenu un homme, ils lui offraient un fusil et envisageaient son mariage, généralement « arrangé » depuis des années (un fusil de plus, disait –on, pour la communauté et un espoir de voir " s’agrandir " la famille. N’oublions pas qu’à l’époque, l’importance d’un clan ou d’un village se mesurait au nombre de ses fusils).
Avec le temps, l’évolution des mentalités et des relations intercommunautaires, les guerres, " les guéguerres " et autres escarmouches ayant disparu, le fusil redevint une arme essentiellement de chasse… tout en restant , bien sûr , l’instrument irremplaçable pour donner plus d’ambiance aux fêtes , comme il fut , heureusement de plus en plus rarement , l’une des armes utilisées pour des règlements de comptes, espèce de vendetta, comme c’était la règle dans la plupart des pays du bassin méditerranéen, pour solder des affaires d’honneur…
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