Ces images me rappellent beaucoup de choses, je les ai vues quand j'étais petit à l'âge de 12 ans. Cela me rappelle beaucoup de choses. Je faisais Ighil-Bouamas/Tassaft Ougamoun à dos d'âne en passant par Ait Ali perché là-haut pour aller chercher une nourriture pour la famille. En tout cas merci beaucoup pour notre ami pour ces souvenirs inénarrables. Nous voudrions avoir plus de souvenirs. Hocine

J'apprécie à leur juste valeur toutes ces photos d'un passé lointain mais combien présent dans nos mémoires . Ce que je trouve paradoxal c'est le nombre d'élèves qui, me semble-t-il ,était plus important en 1960 ,sous occupation coloniale , qu'aujourd'hui .

Oui l'Ancien les élèves étaient plus nombreux à l'époque, nous n'avions pas où aller. Mais ensuite dans l'euphorie de l'indépendance, la misère qui a sévi chez nous, l'exode rural, c'est la ruée vers les villes. Ensuite il y avait l'envie du retour au bercail mais cela ne dura qu'un moment, les événements de 63 suivis de ceux des années 90 ont fini par laminer les villages montagneux comme les nôtres. Et ce n'est pas fini. Seul le développement économique de notre région, voire sa modernisation, peut combattre la torpeur qui nous hante. Or cela tarde à venir. J'ai toujours demandé à savoir est-ce que cela est lié à un problème d'argent. A ce jour, je n'ai pas eu de réponse. Tout le problème est là, car sinon comment repeupler cette région meurtrie? Sinon les photos pittoresques sont magnifiques, de belles filles et de beaux garçons. Hocine

Qui peut me dire (façon de vous faire parler) quel type de voiture est en figure 15? Mon père en avait achetée en association avec un ami une de ces semblables en 53 (une sorte de plymouth je crois). Il n'y avait pas encore de goudron sur la piste du village venant d'El Had vers Ighil Bouamas. Plusieurs fois cette piste a été coupée par les moudjahidine pour ne pas laisser passer les camions militaires. Dans le village il y avait la plymouth, de couleur grise, et la traction moire de M'Barek Ait Menguellet. Cela faisait la joie des enfants. Hocine

La voiture de la photo 15 , immatriculée - 663 A 9L - : je dirais plutôt que c'est une Simca Aronde , très à la mode à la fin des années 1950 . Au-delà de la voiture on peut remarquer les ruines de notre ancienne école , ouverte en 1891 et incendiée vers la fin de l'année 1955 .

sur la photo numéro 11 je crois reconnaître ces personnes: premier à gauche:dda messaoudh ath ahmedh ensuite dda mohamed ath ssaid ouslimane,l'avant dernier me semble être dda lakhdar ath cherif à confirmer bien sûr par d'autres personnes ayant vécu au village

Restons longtemps sur ce chapitre avec ces jeunes belles filles innocentes et ces beaux garçons au clair de lune. C'est vraiment beau. C'est terrible ce que la vie est belle et en même temps souvent cruelle. Je ne sais pas quoi dire d'autre. Hocine

Bonjour tout le monde, juste pour repondre a la question de la voiture, moi et mes camarades de classe nous avions souvent joué dans cette voiture jusqu'a un jour elle a finie sous les gravas de l'ancienne ecole il s'agit d'une voiture de marque VEDETTE qui appartenait a une personne du quartier NATHSROUR (DCD).

rectificatif: lire le troisième en commençant par la gauche, le reste sans changement LE deuxième (à partir de la gauche)me semble être dda vlaïdh ath said ouslimane;toutes ces personnes sont décédées(qrep)

Photo n° 11, de gauche à droite: AIT KACI Bélaid (fils de Aomar), SAID OUSLIMANE Bélaid, OUSSADA Mohamed, SAID OUSLIMANE Mohamed, SAID OUSLIMANE Makhlouf?, AIT CHERIF Tahar, x, AIT SI LARBI Med Said?, Oucherif Said?, x, OUCHERIF Lakhdar, OUCHERIF Ahcene.

Les photos 9 et 11, je les préfère telles qu'elles étaient présentées la première fois, montrant les vieux et les enfants de la tête aux pieds avec cannes, chapeaux de pailles et sandales en caoutchouc,çà nous rappelait l'ancienne époque.

Sur la l image 11, c bien une belle image, je suppose qu'il s'agit de dava, aomar ait amer. c'est l'année de cette photo qui me préoccupe,je reconais en effet said at cherif, mais??? ca remet en cause les annees 60 et 61.

Youcef Ath Younès vient de m'annoncer le décès de Hamou Ait Cherif, Ath Ouham ( visible sur les photos de D. Breuil ) . Sincères condoléances à sa famille et à ses proches .

Qui faut-il remercier en premier pour avoir contribué à ressusciter un pan de notre histoire et à ouvrir une petite fenêtre, un rayon de soleil dans la grisaille , sur la vie au village durant "les années de braise" ? Bélaid , Brahim , Hamid ,Youcef, les Breuil ... ? Merci à tous et un peu plus aux Breuil à qui nous demandons de nous abreuver encore avec d'autres documents de cette époque . Certaines photos sont incroyablement saisissantes et nos écoliers , garçons et filles ( peut-être les premières scolarisées au village) ,sont adorables dans leurs différentes tenues , surtout celle de sport . Pour moi c'est une photo 'historique '.

J'ai envoyé tout à l'heure un message, il n'est peut être pas passé. En appuyant sur "valider" ça ne bougeait pas. Je voulais dire que je ne comprends rien à cette nouvelle configuration du site. S'il faut supprimer ce site, supprimons-le, sans chercher à le rendre illisible ou inaccessible au commun des mortels que nous sommes. J'espère que ce second message, moins prolixe, passera. Saïd

Tu deviens agressif mon cher Hocine . Au lieu de suggérer une solution extrême ( fermeture du site ) il aurait fallu tout simplement demander des explications .... Il y a effectivement problème, depuis quelques jours, lié à la perte de certaines options obtenues moyennant un abonnement, payable en France ( Paris ) .J'espère que tout rentrera dans l'ordre à la fin de ce mois de mai .

Quelle vraie belle vie que représentent ces enfants. L'image de la guerre se lit sur les visages affectés de ces hommes (photo 11) ainsi que sur la fillette au tablier bleu (photo 17). Je ne sais quoi dire tellement ces souvenirs que j'ai vécus semblablement à Ighi-Bouamas m'affectent douloureusement. Hocine

Que faire pour nous faire aimer notre Kabylie? Je crois que c'est peine perdue. La seule chose que l'on peut remarquer chez nous ce sont les camions de pierres qui viennent de temps en temps déverser leurs fardeau dans un bruit assourdissant au prix de 4500 DA la charge (petit camion). Point d'autres activités.Tous s'acharnent à se construire un toit avec l'aide de l'Etat(700 000 DA), sans jamais y parvenir pour la plupart, mais cela n'apparait en fait que comme un appât pour adoucir les moeurs. Je ne dis pas que c'est une mauvaise chose, mais je dis que le développement doit venir aussi d'ailleurs. Ainsi comme partout en Algérie, on reçoit sa facture Sonelgaz (pour nous à Iboudrarène ça ne concerne que l'électricité) dans le même format avec obligation de la régler avant le 18 mai (ce qui est un progrès en soi à relever chez Sonelgaz). Mais en me présentant ce jour à la mairie d'Iboudrarène pour payer ma facture de Sonelgaz il y avait un seul préposé dans ce lieu que l'on peut qualifier de lugubre mais aussi j'ai remarqué qu'il y avait un seul PC. Après avoir terminé sa conversation au mobile, le gentil bonhomme me dit que l'imprimante est en panne (donc il y avait aussi une seule imprimante) et qu'il ne peut pas donc prendre de moi l'acquittement de ma charge. Dernièrement à Michelet pour le même objet on m'avait dit qu'ils étaient en panne de réseau. Voilà comment ça fonctionne! Cela se passe partout en Algérie, y compris à Alger. Mais à Iboudrarène on devrait donner l'exemple si on veut développer cette région qui ne mérite pas son sort. Puis-je payer ma facture dans un bureau de poste à Alger? Ce paiement sera-t-il connecté automatiquement à la seule agence de Sonelgaz de Michelet que nous avons dans notre contrée? Avec mes salutations. Saïd

Oui Ait Ali c'est bien une SIMCA ARONDE, cela me revient. En 1960 un Kabyle de mon village possédait la même voiture à Oran, à la cité Victor Hugo où j'étais hébergé par des parents par alliance.Des souvenirs magnifiques! Hocine

salutations, pour ce qui est du n°8 de la photo 8 il s agit du pediatre DR Abdelmadjid oucherif amicalement farid oucherif

Bonjour farid, est ce que tu peux me dire ou il se trouve part apport a azouaou brahim, nous l'appelons VICTOR HUGO tellement qu'il était fort en dictée, tu lui passeras un bonjour. Merci d'avoir répondu à mon appel, j'attends toujours les interventions des autres camarades que nous voyons sur ces photos...a bientôt.

Photo 12 . Je n'arrive pas à situer exactement l'endroit où a été prise cette photo n° 12 .

Bonsoir da Hamid , rectificatif pour la photo de mon frere Abdelmadjid en faite il s agit de la photo 7 . Pour Mr Youcef A.y Abdelmadjid te passe son bonjour

à l'ancien: Je pense que la photo n° 12 a été prise à Tajmaït (Guer ihouna),exactement entre la route menant au quartier ath khaledh et akentar, derrière on voit la maison de Chabha n'telhadits (AIT YOUNES)et la route est celle qui mène vers akentar, on voit aussi légèrement le socle du poteau l'djama sur la bordure gauche de cette route. Avec l’érosion, cette route est devenue maintenant une pente très accentuée.

Bonjour tout le monde, j'ai bien examiné cette photo comme l'a expliqué notre ami le villageois, mais je ne suis pas tout a fait d'accord pour la simple raison que la plateforme de GHRIHOUNA est droite quant a la descente au KENTAR, c'est vrai à droite nous avons la maison de NA KOUKOU E'NTELHADITS mais en face nous avons aussi THESSIRT N"EDALI à mon avis vous faite erreur. demain j’irais au village et je ferai de mon mieux pour retrouver cet endroit. merci pour votre participation. YOUCEF.

Bonjour mes chers amis, eh bien aujourd'hui, je me suis rendu au village et surtout a ghrihouna ou je suis resté plus d'une heure à chercher et voir si la photo N° 12 correspond a une de ses ruelles, mais hélas, je ne suis abouti a aucun résultat positif... désolé.

Bravo Hamid pour ce que tu fais! Saïd

Bravo à vous tous et non pas à Hamid seulement pour ce que vous faites . Est-ce que vous avez remarqué le nombre de visiteurs qui ne cesse d'augmenter ? C'est un bon signe . Said parle du nombre insignifiant de harki de son village et de ce fait casse un tabou après Brahim Azouaou dans ses témoignages . Personnellement je pense qu'il faut parler maintenant , plus de 50 ans après l'indépendance , des harki, sans haine et le plus objectivement possible et s'il le faut sans citer de noms . C'est un volet de notre histoire que nous nous devons d'aborder ...

Ce vénérable homme (retraité des usines Renault)du nom de "Ramdane aissiou" que vous voyez sur la photo de la fontaine centrale soignait bien ses bêtes. On le voit bien, la vache comme l'âne sont bien potelés. Son champ "Igrène Moussi" non loin de Souk El Had était un véritable jardin. Ceci à un moment ou la pauvreté des gens atteignait le summum de ce qui pouvait être humainement accepté. Son héritier Ahmed qui lui aussi n'est plus de ce monde a pris la relève pendant un temps, mais plus grand chose depuis. Aujourd'hui c'est l'argent facile, l'argent inflationniste, qui façonne la plupart d'entre nous. Les vaches de l'aide agricole ou de de l'Ansej grouillent sur les routes, violent les propriétés des gens disparus, mais point de lait cru à l'horizon, ou si vous en achetez un litre à 70 dinars il est mélangé au lait de 25 dinars. Que Dieu nous garde! Hocine

Je vais tenter de donner un avis sur le dernier commentaire de l'Oranaise sur les harki Nul, parmi les anciens , ne peut ignorer ou faire semblant d'ignorer l'existence, à travers tout le territoire de l'Algérie sous domination coloniale , de ce corps assez particulier de supplétifs de l'armée française .On les appelait les harki . Les raisons qui ont poussé certains jeunes gens à s'enrôler dans l'armée coloniale sont multiples... et en 1962 malgré quelques réactions , somme toute légitimes ,les exactions commises contre certains d'entre eux n'ont pas atteint le degré de sauvagerie enregistré contre les "collabos" à la fin des deux guerres mondiales, en France notamment . Je pense que ce dossier des harki peut être abordé sereinement ,sans passion ni rancoeur , intelligemment pour ne pas susciter des débats stériles ...

Je ne vois pas pourquoi parler des harkis est " tabou" . Nous n'avons rien à cacher et nous n'avons pas le droit de falsifier " notre histoire" en l' escamotant volontairement d'une partie .

Ayant appris tardivement le décès de mme Kardache da rachid rahmatou allahi aleihim je presente mes sinceres condoleances à tout ses enfants ainsi qu à belga et son epouse .inna lilah wa inna ilaihi radji3oune atsirham rabi irahmagh asma atsnawedh

Oui Hamid, les militaires organisaient des "fêtes" dans les villages pour faire oublier les peines et les misères que vivaient les familles ou plutôt pour faire croire que tout allait bien dans les villages occupés. Dans cette photo à Ighil Bouamas, près du poste militaire et de l'école primaire ouverte après leur installation au village début 59, on fit appel à un aimable innocent, un peu faible d'esprit, pour jouer de sa naïveté, et ramener les femmes chanter en choeur autour de lui. E

Par inadvertance, vous avez compris..... je poursuis donc l'article précédent:...... En fait il savait que tout le monde plaisantait avec ce petit bonhomme doté d'une petite tête au crâne rasé.Tiens par exemple une fois il a parié de croquer d'un coup quatre piments rouges forts. Je me rappelle aussi que sa famille n'aimait pas qu'on organise trop de plaisanteries autour de lui. Il était estimé de tous. A l'indépendance ses cousins l'ont pris avec eux à Oran. C'est là-bas qu'il rendit l'âme, il n'y a pas si longtemps, à un âge avancé. La morale de l'histoire: vous avez remarqué que dans ces soi-disant fêtes, il n'y a plus aucun homme valide, ces hommes sont partis pour les uns ou morts pour les autres. Il ne demeurait au village que les femmes et les enfants dans une misère indescriptible. Nos villages ont vécu l'enfer pour la libération de notre pays. Que l'Histoire (avec un grand H) le sache. Saïd

Oui Said , effectivement il y a très peu d'hommes sur ces photos qui illustrent un des instants les plus abjects du comportement de certains harki,exécutants zélés des basses besognes , eux qui pourtant connaissaient parfaitement les us et coutumes de nos populations . Sur la première photo ( Tajmait n'Ath Ali ) à part un vieillard ( Amer Oumbarek ? ) mélancolique et désabusé on aperçoit quelques garçons dansant innocemment et des femmes qui, tristement et du coin de j'oeil ,suivent la scène . On m'a même affirmé qu'à un certain moment il était interdit de fermer les portes des maisons pour permettre aux harki d'y entrer à n'importe heure du jour ou de la nuit ( à vérifier ).

On ne discute pas assez à travers notre blog. Il est vrai que chacun doit avoir ses problèmes, mais cela ne justifie pas un tel silence. Je m'attendais à beaucoup de réactions sur ces fêtes obligatoires, mais rien n'est venu. La chose est entendue. Saïd

Notre ami Said a raison de signaler le peu de réactions sur un sujet qui semble être toujours sensible plus de 50 ans après l'indépendance . Et notre Hamid qui se démène " comme un diable " pour dédramatiser des faits pour les insérer dans "un processus normal " de l'histoire .Je pense que les gens n'interviennent par pudeur et surtout pour ne pas parler de quelques mauvais agissements de quelques égarés, bien souvent contre leur volonté . Notre village, tout comme toute notre région, a payé très cher l'indépendance de notre pays . Tout le reste est à mettre sur le compte des "dégâts collatéraux" .Il n'y a pas de guerre propre .

en reponse à notre ami said au sujet tres epineux concernant les harkis , mon avis frere said notre village avait beaucoup souffert de ce fleau si je p y ainsi dire les uns au depart etait de vrais moudjahidine tel makhlouf athyhia quand il fut demasqué par l armé francaise ,il a exigé qu il rejoigne l ALN mais celle çi par incompetance avait refusé son retour parmi eux et le reste vs le savez il s est vengé mais de quelle maniere,maintenant pratiquement si j ai pas peur de mentir je dirai que tout les harkis d ait ali sont morts donc pourquoi remuer le couteau ds les plaies des familles qui sauvagement furent touchées tounant la page da hamid khouya said et parlant de bonnes choses sans rancune

Tous les points de vue sont à prendre en considération et sont à respecter. Pour ma part, les événements dont on parle m'ont particulièrement marqué, les ayant vécu enfant sur le terrain. Alors j'en parle pour dire combien notre région de la Kabylie a souffert pour libérer le pays du colonialisme. Je veux réaffirmer ici dans notre blog, et pour l'histoire, que notre région a payé le plus lourd tribut durant la révolution 54/62. Il faut le dire et le répéter, c'est important. Il faut que les générations montantes le sachent car on enseigne autre chose à l'école. C'était mon seul et unique but, l'histoire c'est important car on n'est pas éternel ici-bas. c'est une façon aussi de ne pas oublier et de rendre hommage à tous ceux qui ont disparu dans le cours de la guerre,à tort ou à raison, car c'était une vraie guerre. Maurice Blanchot disait "Qui veut se souvenir doit se confier à l'oubli, à ce risque qu'est l'oubli absolu et à ce beau hasard que devient alors le souvenir." Saïd

Je recommande la lecture de l'article de Tayeb Abdelmalek , publié dans le blog de CL Borrel , Algérie 21 .

Salut les amis Tayeb, que Dieu le récompense dans son Paradis, est un ami intime à moi. Nous avons fait comptabilité ensemble au CFPA Lavigerie d'El Harrach des Pères Blancs (66/67). Cependant je ne peux être totalement d'accord avec son écrit que je respecte. Ce sont des choses que je ne peux préciser ici. Saïd

Il y a moins d'un mois , à Sedrata , au cours d'une discussion anodine avec une personne de notre village, qui dit avoir vécu , jeune à cette époque , cet épisode des " bals obligatoires" orchestré par quelques harkis ,... cette personne donc , m'apprend que par mauvais temps on a utilisé la mosquée du village pour " ces fêtes obligatoires " .

Bonjour DA HAMID, bonjour mes amis, je voudrai apporter une précision sur le bal du village, oui effectivement chaque dimanche il y avait une sorte de fête mais jamais la masquée du village a été utilisée pour abriter cette fête. il reste entendu que cet événement était imposée par le colonialisme français dans tous les villages qui nous entours. SAHA FTOURKOUM