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Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources
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Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources

VIP-Blog de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources
hamidaitkaki@yahoo.fr

  • 122 articles publiés dans cette catégorie
  • 2726 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 09/01/2009 20:53
    Modifié : 27/08/2020 17:37

    Garçon (69 ans)
    Origine : Annaba
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             Interception   d’un  message   radio 

                 Temps  nuageux ,  maussade ,  atmosphère  triste  , déprimante ,  aucune activité  n’est possible … ,  même  les écoliers sont privés d’école  et  cette  pluie  qui   ne  cesse de tomber  ces  derniers  jours ,  accentuant    encore  plus   le sentiment d’isolement  de la région  Dures  sont les journées  de  mauvais  temps  au village  et  sûrement  un  peu  plus  pour les femmes  qui , dans le froid , la boue  et  parfois  la  neige,  doivent  nourrir  hommes et bêtes .…Emmitouflés dans leur burnous , les hommes  eux , vieux et jeunes , occupent  les  Ihouna  de  quartier  ( petits  espaces  publics couverts)  pour commenter  les  dernières nouvelles  ou  simplement  pour  discuter  de  tout  et  de  rien   ,  histoire  de   ‘’tuer  le temps ‘’….

     

                                          Ahanou Ouvava ( Ath Amer)

       Au ‘’garage’’ n’ath Kaki ,  sur  un banc  situé  à  gauche  de  l’entrée  du magasin  ,  quelques   jeunes  gens ,   acteurs   ou  spectateurs   ,  autour d’un  jeu de dames , oublient ,  pour un moment , leur  oisiveté  et  leur ‘’mal vie’’  pendant  que  , derrière le comptoir ,  Mohamed  ath  Kaki    ,  avec  son vieux  poste  radio  à  piles ‘’serfe ‘’ sur  les ondes  à  la  recherche  d’informations ….    Et   puis  , tout à  fait  par  hasard  ,  au  milieu   de  « fritures »  et  grésillements   agaçants  , une  voix   suivie  rapidement  d’injonctions …chut ! chut ! chut ! … capte  l’attention de l’assistance  :  « …ici  le  PC  de  Tassaft  Ouguemoune … ordre   aux   militaires  de   Tala n’Tazert  d’arrêter  le docteur  Driss  Mammari  au  retour  de  sa tournée ….. »   Pour  rappel  le  docteur  Driss  Mammeri , des  Beni Yenni  , était  médecin   de  santé  publique  très   connu  et  estimé  dans  toute  la  région   ( voir  articles , guerre ,  page 21 ) .

     

                A ce  message  radio , émis  en  clair ( non codé ) et  fortuitement  capté  à  l’aide   d’un  simple  poste  (  curieux ! )  la réaction   fut unanime  et  immédiate  :  «  il  fallait absolument   agir vite  !.. »   On  alla chercher  mon  oncle  Boukhalfa   ( qui   faisait  tranquillement  sa  sieste , Boukha  qrep   était un très grand dormeur , un véritable  loir ! )  pour  le  charger  de  la  délicate  mission  d’aller  à  la  rencontre du docteur   , avec  son  camion ,  un  2,5 T  Renault  ,  mission  qu’il  accomplit  d’ailleurs  avec  succès . Quant à notre  sympathique  docteur ,  il  disparut  de  la région   pour  n’y   revenir  qu’à l’indépendance ..( On  dit  qu’il  s’était  réfugié  au  Maroc ) .

     

     

     

     



    Commentaire de unancien (17/01/2013 15:11) :

    Temps maussade et nuageux..., je crois que les esprits de nos amis sont engourdis par le froid puisque devenus incapables de concevoir et d'envoyer le moindre petit commentaire . En tout cas Hamid , avec quelques mots , a bien décrit l'ambiance triste des "longues" journées d'hiver au village .Notre brave docteur Mammeri s'était effectivement réfugié , comme beaucoup d'autres algériens , au Maroc . Azul .


    Commentaire de Oranaise (18/01/2013 16:21) :

    La grippe fait des ravages en ce moment et semble même avoir atteint nos amis du blog . Bon rétablissement à tous ! Les femmes , durant une époque ''révolue'' nourrissaient hommes et bêtes mais aussi participaient activement aux travaux des champs : cueillette ou ramassage des olives et leur acheminement jusqu'au village , idem pour le bois de chauffage et le foin pour les animaux ... A la maison en plus des travaus ménagers ordinaires il faut ajouter le nettoyage du ''adainin''( ' petite étable située dans la grande pièce commune ) et le transport dans iqechwwalen ( hottes en roseau ) jusqu'aux champs du fumier et de la litière ... ..., il faut aussi quotidiènnement aller chercher de l'eau à la fontaine publique .... Comme dirait notre ami Said , nos femmes ont combattu chacune à sa manière .


    Commentaire de arezki2 (20/01/2013 16:10) :

    Azul à tous . Je rejoins Youcef Adli qui disait lors d'un entretien sur Berbère TV : " Il ne faut pas trop idéaliser notre société traditionnelle ... On ne peut pas échapper à la mondialisation... , allons donc à la modernité avec nos traditions ." Voilà un sujet de réflexion intéressant . La vie dans nos villages avant l'indépendance et même après n'était pas toujours facile pour tout le monde et , pendant les dernières années de la guerre de libération , elle était devenue insupportable . Oui, qui parmi les anciens n'a pas connu notre brave docteur Mammeri et Boukhalfa Ath Kaki, l'homme sur qui on pouvait compter ?


    Commentaire de saidouiza (20/01/2013 23:16) :

    C'est exact, l'Oranaise a vu juste. La grippe mais aussi la morosité nous gagne. On sent une sorte de "Vouvrak" sur les épaules:on veut crier pour extérioriser le fardeau que l'on porte mais on ne peut pas.De la tristesse qui plane, comme planent tiguerfiouine (corbeaux)sur la montagne pour annoncer la pluie.Les tonnerres grondent, les éclairs se font perçants lumineux tandis que les foudres s'abattent. La Kabylie est triste, elle fait mine grise, abandonnée à son seul sort. Elle pleure, seule. Elle se souvient, elle ne peut pas oublier les cris des femmes, leur sueur, leur combat, leur peine, leur chagrin. A la fin de chaque ratissage militaire dans le village,les femmes faisait le décompte des morts et des prisonniers et le soir on ne mettait pas la marmite sur le kanoun. Le kanoun froid, rien de plus triste.La prochaine fois je vous donnerai des extraits de Kateb Yacine et de Mouloud Feraoune sur le combat de la femme. Saïd


    Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (21/01/2013 16:39) :

    Bonjour à tous . Dans le commentaire de Arezki2 , lire Younès Adli ( et non Youcef Adli ) . Une question : nos traditions ( dont bq ont disparu ) peuvent-elles constituer un obstacle à la modernité ( et c'est quoi la modernité ?) ? .

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    Commentaire de saidouiza (22/01/2013 01:08) :

    Ahanou Ouvava(Ath Amer) est vide. Je pleure ma Kabylie. Nos aïeux se retournent dans leurs tombes. Pourquoi alors sommes-nous partis là-bas? On ne connait pas notre itinéraire, pour ne pas dire notre histoire. Cela n'a rien à voir avec la modernité ou la mondialisation, ce ne sont que des mots sans importance. La Kabylie est vraiment triste, abandonnée par ses enfants. La modernité c'est le retour aux sources. Pourquoi alors a-t-on abandonné celle qui nous a donné le souffle de la vie? Saïd







                             On   affamé  nos  populations  !

                                                                        par  Saidouiza

                     C’était   la  période   du  ravitaillement ,  de  l’embargo   alimentaire   sur   la  Kabylie .  Il  n’y   avait    ni   semoule  ,  ni   café   ,  ni  sucre  ….  ,  aucune   denrée   de   première   nécessité   n’était  disponible ...   « Il   faut  couper  les  vivres   aux   villageois   qui   nourrissent   les   Fellaga   !  »    avaient   décidé   les  autorités  françaises   obligeant  ainsi  femmes  et   enfants   à   se  rendre  à  pied   ou  à  dos  d’âne   dans  les  villages  voisins  ,  occupés   par  les  militaires ,  pour  y  chercher  leurs  maigres  rations   alimentaires …

                   Déjà   usé  par  les  corvées   quotidiennes   dont  le  transport    de  l’eau ,  l’âne   de  la  famille  ( de  Saïd ),   de  retour   « d’une  mission  de  ravitaillement  »   tomba  de  fatigue   au  beau  milieu    de  la  route .  On  préserva  la  précieuse  charge   qu’il   transportait   et ,   à  contre  cœur  ,  on  laissa  sur  place  la  malheureuse   bête   effondrée  et   agonisante   qui  fera  ,  la  nuit venue ,  le  bonheur  des  chacals  dont  on  disait  qu’ils   étaient  eux  aussi  affamés   Très    secouée  par  cette  triste  fin ,  Grand-mère   qui  ,  ce  jour –là  ,   avait   « emprunté »   le vieux   baudet ,  appréhendait   la  réaction  de  la  famille   à   qui  elle  devait  fatalement    des  explications . …       Grand-mère   était  une  femme  d’une   bonté  et  d’une  grandeur   inimaginables . Elle arrivait  souvent  à  se  débrouiller  un  peu  de  café   par-ci ,   un  peu  de  semoule   par-là    juste  pour  faire   plaisir  à  sa  fille  et  à  ses  petits-fils. ..  



    Commentaire de saidouiza (25/01/2013 23:52) :

    Merci Hamid pour cette belle image. Notre ahanou (ahanou atihia) est aussi vide que le vôtre. La photo a été prise par Jean Claude Borrel en 2006. Voilà donc Saïd, les bras croisés, en train de méditer. Aujourd'hui j'ai construit une petite maison là-bas, sur la route, ma femme Ouiza qui est née pourtant là-bas et y a vécu jusqu'à 16 ans, me dit "tu es fou, est-ce que tu vas vivre là-bas, tu as jeté tes petites économies par la fenêtre". Dites-moi ce que vous en pensez. Saïd


    Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (26/01/2013 12:50) :

    Bonjour Said . Personnellement je pense que tu as parfaitement bien agit en construisant une petite maison au village . Toutes mes félicitations ! J'aurais fait comme toi si j'en avais la possibilté et dix ans de moins . Une petite maison là-bas , un refuge sur la terre de nos ancêtres pour de fréquents ressourcements pour tous les membres de la famille ... ça serait parfait ! Je garde l'espoir de voir un jour le retour en masse , même pour quelques jours seulement ( et de temps en temps pour les jeunes ), de nos concitoyens . Bon courage !

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    Commentaire de Oranaise (26/01/2013 16:24) :

    Azul à tous . D'abord je voudrais demander à Said de situer dans le temps ce blocus alimentaire imposé à notre région et ensuite de nous dire quels étaient les villages occupés où devaient se rendre les vieilles pour le ravitaillement ( Ighil Bouamas n'était-il pas lui-aussi occupé ? ). Après Hamid , je voudrais féliciter Said pour sa sage décision de se faire construire une petite maison au village . Je reste convaincue que ni son épouse , ni ses enfants ne regretteront cette initiative . Qui vivra verra .


    Commentaire de saidouiza (27/01/2013 00:03) :

    Ce n'est qu'en 1959 qu'un poste militaire a été installé à Ighil Bouamas, sinon avant les militaires venaient seulement faire des ratissages avec toutes les exactions qui s'en suivaient. C'est avec l'installation du poste militaire que l'école a été rouverte mais cette fois pour filles et garçons, dans une même salle et même classe, la première fois que les filles d'Ighil Bouamas vont à l'école. A chaque chose malheur est bon dirait-on. En 1958 c'était l'embargo sur le village. On allait s'approvisionner à Bouadnane et Tassaft. Je sais que les Ait Ouabane et Tala N'tazert étaient déménagés à Bouadnane pour qu'ils ne servent pas de couverture aux moudjahidine. Ighil Bouamas était pilonné à partir des villages d'en face occupés par les militaires, car les moudjahidine venaient la nuit dans le village pour se nourrir. Il faut dire qu'après l'installation du poste militaire et l'encerclement du village avec du barbelé, les ratissages et pilonnages avaient pris fin. J'ai quitté le village en 1960 pour Oran où j'ai vécu la sinistre période de l'OAS. Je suis revenu dans le village en 1963 où j'ai retrouvé la même peur qu'avant avec les événements FFS. Saïd


    Commentaire de saidouiza (31/01/2013 01:33) :

    Les enlèvements rapportés chaque matin dans les journaux durant la décennie noire rappellent à Saïd les cinq braves femmes de son village, arrêtées en 1959 par l’armée coloniale. Elles ont disparu depuis et ne sont plus reparues dans le village. Ces femmes de la montagne, à la beauté naturelle, ne dépassant pas la trentaine, préparaient couscous et galette aux moudjahidine qui les attendaient dans les champs lointains, à l’est du village, là où elles ne courraient pas le risque d’être repérées à partir des postes militaires installés sur les crêtes des versants opposés. Quelques mois plus tard, on entendit dire que des mèches de leurs cheveux avaient été retrouvées dans un vieux puits. Le village n’a pas construit de stèle à leur mémoire. Il n’y a aucune stèle au village, il y a seulement des tombes recouvertes de dalles de pierre. Considère-t-on que le village tout entier est une stèle, il n’y a rien à sacraliser ou à momifier ? L’une des cinq femmes est une parente à Saïd. Elle était fille unique et a laissé une fille-unique. « Honneur aux femmes, à leur beauté, à leur courage, à leur travail et à leur juste cause. », disait fort justement Kateb Yacine. « Au total les femmes supportent durement le poids de la guerre, on les bat comme les hommes, on les torture, on les tue, on les met en prison. », écrivait en 1959 dans son Journal Mouloud Feraoun. Il disait aussi dans le même chapitre : « Quand ça arrêtera, les survivants savent qu’elles ont tous les droits, de même qu’elles ont eu à assumer toutes les obligations, toutes les servitudes, toutes les humiliations, toutes les souffrances. La question est de se demander s’il en restera car on est en train de nettoyer le djebel de ses éléments les mieux enracinés, les plus endurcis, les plus représentatifs, en somme les seuls valables. » A juste titre, Boudiaf a dit : « Il y a un seul homme dans ce pays, c’est une femme. » Saïd


    Commentaire de Tassadit (07/02/2013 17:00) :

    Oui Said feu Boudiaf QREP , a dit : " ...il n'y a qu'un seul homme dans ce pays , c'est une femme ..." Il a dit celà dans un contexte bien connu et sur lequel , je pense ,qu'il ne faut pas revenir ,du moins pour le moment . En tout cas merci à tous ceux qui apportent leurs contributions pour aider les générations actuelles à mieux comprendre les combats menés par leurs aînés pour qu'elles vivent aujourd'hui libres .







             Grève des étudiants (19 mai 1956)

               Le 19 mai 1956 une grève  illimitée  des  universitaires ,  lycéens et collégiens  algériens a été déclenchée  par  l’UGEMA ,  l’Union  Générale des  Etudiants  Musulmans  Algériens  (  le mot « musulman »  employé  ici  a  une connotation  beaucoup  plus  identitaire  pour  signifier clairement la démarcation de l’UGEMA des autres organisations estudiantines  de l’époque ).

               A quelques jours  seulement  des  examens de fin d’année  ( BEPC , BAC , Examens  Universitaires, … ) ,  comme  une traînée  de poudre , la nouvelle  s’était répandue dans tous les établissements scolaires , universitaires ou de formation professionnelle . Comment avions-nous appris l’ordre de grève  au collège des Pères Blancs  à   Beni  Yenni  ?   A  l’internat  nous  n’avions  ni  radio  ni  journaux ,  ce  fut donc  par  l’intermédiaire  des  élèves  externes  que  l’information nous était  parvenue .

      Achour Ouslimani, qrep, tombé au champ d'honneur.

     Sitôt   avertis  et  suite à un  bref échange de points de  vue ,  comme  un  seul  homme , tous les élèves internes s’étaient  retrouvés  au dortoir  pour récupérer  leurs effets personnels   afin de quitter au plus vite  le collège  . Les Pères  Blancs  , il  faut le souligner , adoptèrent, à cette occasion  , une attitude  neutre , bienveillante même nous conseillant de faire bien attention à nous .Nous quittâmes donc et définitivement  notre établissement , à pied et par petits  groupes  . Le  notre  , celui d’Iboudrarène , était composé d’une dizaine  d’élèves  que  je vais essayer de citer , en  m’excusant auprès de ceux  dont je n’arrive plus à retrouver le nom . Il y avait donc : Abdennebi  Messaoud  et Oularbi Abdelkader ,  du village de Tala  N’Tazert ,  Ouslimani  Achour ( tombé au champ d’honneur ) et Ameur Ouali Lamara ( ? )  du village de Bouadnane .  trois autres d’Ighil N’Tsseda  :  Hani Mokrane , Makhoukh   Larbi et Ouabdesslam Madjid  ,  Nourredine  Ahmed et  Hamid Ath Kaki  d’Ath Ali Ouharzoune   et deux autres   de Tassaft Ouguemoune : Ould Hamouda Brahim et Arezki . Informations complétées par Hani Mokrane .

    Achour  Ouslimani et Hamid  Ath Kaki  . Photo  1956 



    Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (26/03/2013 14:40) :

    On vient de m'apprendre , par téléphone , que les deux collégiens d'Ighil N'Tsseda sont probablement Mokrane Ath Hammi qui vit actuellement à Alger et Youcef Ath Makhoukh qui s'esr installé en France .

    http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/

    Commentaire de michael1953 (31/03/2013 19:37) :

    Bonsoir à toutes et à tous! je m'excuse pour ce silence indépendant de ma volonté. Je tombe sur ton nouvel article, cher Hamid et sur cette photo de ce jeune martyr (tejreh thassa)tombé au champ d'honneur que Dieu l'agrée en son vaste Paradis ainsi que tous nos chouhadas. Combien de parents ont perdus comme ça leurs enfants, à la fleur de l'âge dans cette guerre? Combien d'algériennes et d'algériens ont souffert pour avoir refusé le joug colonial? Notre peuple a subi toutes les colonisations (des romains aux français)et il n'y a pas hélas de colonisation "pacifique". A bientôt!


    Commentaire de Idir52 (03/04/2013 15:47) :

    Bonsoir Hamid Suite à ton commentaire du 26/03/2013 au sujet de la grève des étudiants du 19/05/1956, parmi les élèves d'Ighil N'sedda, il y avait Hani Mokrane et non Hammi, Makhoukh Larbi et Ouabdesselam Madjid (Alias Belkacem), Les deux élèves de Tassaft sont : Ould Hamouda Brahim et Ould Hamouda Arezki. Les éleves de Tala Tnazet sont : Abdennebi Messaoud et Oularbi Abdelkader. Il y aussi: Ameur Ouali lamara du village de Boudenane. Source d'informations : Hani Mokrane Idir Ouabdesselam


    Ait ali Ouharzoune-Retour aux sources Commentaire de aitali-ouharzoune-retour-aux-sources (03/04/2013 19:42) :

    Merci Idir et mille excuses à Hani Mokrane . Il ne faut pas m'en vouloir , ma mémoire me trahit de plus en plus . Je vais à l'instant corriger mon texte .

    http://aitali-ouharzoune-retour-aux-sources.vip-blog.com/

    Commentaire de Idir52 (03/04/2013 23:30) :

    Bonsoir Hamid Désolé Hamid! tu n'as pas a t'excuser, bien au contraire,tout est a ton honneur, car nous retenons tous ce que nous faisons à travers ce blog c'est grâce à toi, et sans ton incommensurable contribution tous ces témoignages ne verront jamais le jour pour les générations futures. Sincères amitiés. Idir Ouabdesselam


    Commentaire de Oranaise (05/04/2013 15:35) :

    Combien d'étudiants , combien de lycéens comme Achour Ouslimani ont tout sacrifié , leur jeunesse , leurs études ... , pour que vive l'Algérie debout ? .Gloire à nos Chouhadas . Hamid , ce que tu es en train de faire est tout simplement magnifique . Nos compatriotes devraient participer à la collecte de témoignages et de photos .





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